dimanche 3 janvier 2016

La traversée au long cours

Samedi, départ pour Koh Tao de l'autre côté de la côte,  dans le golfe de Thaïlande. On sait qu'on va en baver, entre plusieurs moyens de transport et des temps d'attente plus ou moins longs. Départ entte 7h10 et 7h20 de l'hôtel pour une arrivée prévue à 17h45 . Déjà, on prévoit d'arriver fatigués. Et là,  c'est quand tout se passe normalement.
Le pick up arrive un peu limite à 7h45 pour partir du port à 8h! Pas énervé pour un sou, le thaï. On s' engouffre à côté du conducteur,  un peu tassé; heureusement,  on ne mange pas de riz depuis le début du voyge, donc pas de kilos superflus de gagnés! 1ere destination Krabi, théoriquement en 2 heures puisque c'est un bateau rapide, mais on en  mettra 3. À l'intérieur,  on nous demande notre destination,  on repond Koh Tao, mais le gars ne nous demande  pas nos billets. Dommage,  car une fos arrivés sur le quai, tous les autres sont pris en charge pour aller directement à la gare de bus. Nous, on reste en plan et on trouve un restau français,  Le cliché,  où nous mangeons à la bourre 2 excellents plats. Prochain rendez-vous midi, on arrive pile et on repart aussitôt pour la gare centrale. Là,  un véritable bazar nous entoure,  personne ne sait où il doit aller, personne ne comprend l'accent à couper au couteau des Thaïs. C'est la panique! Un petit coup de stress nous envahit, le guide m'envoie à la pêche aux infos par 2 fois! On nous répond qu'il faut faire la file pour obtenir nos tikets de liaison. Il est 12h30, et c'est l'heure de notre départ!
En fin de compte, on nous annonce qu'il se fera à 13h. Tout ça pour ça! Nous parvenons à monter dans le bus, en route pour 3h vers Surat thani. Une fois arrivés au prochain quai, il est 16h environ, on débarque comme des boeufs sans savor quelle file est la nôtre.  Je m'engouffre et parviens à doubler quelques touristes groguis. Une fois montés à bord, ka faim nous tenaille, msis il ne reste que quelques maigres paquets de chips et cacacouettes. Ça fera l'affaire! Après tout il ne reste que 2 heures. Eh bien,  c'était sans compter la désorganisation totale des employés et surtout le nombre impressionnant de touristes qui se déplacent d'une île à l'autre. On arrivera finalement avec 3 heures de retard et un gros mal au coeur, la dernière heure étant la pire de tout le voyage.
Une douche, un gros repas: je fais une entorse à ma devise " jamais de frites sauf si ma vie en dépend ", petit tour de ville et un gros dodo pour être en forme demain









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